un poème
dormir debout
et laissé les routes se dessiner
manger des miettes des autres
asphyxier
libéré, je hume
ses mots parmi ces maux
gravement
lentement
parfois le trou noir
comme dans ses bas
un ruisseau d’impressions
d’émotions
et de eux
accouché est douloureux
tes yeux ;
parce que.