25 octobre 2006

Mapoétique

f (lui) = moi.
f (sa mère) = arrêtez de nous surprendre comme ça.
f (elle) = c’est trop difficile de se passer de mathématiques, car f (x), x étant l’inconnu au bataillon, tend vers f (y), y étant le regard perspicace de mes iris dans ses lobes oculaires.
On pose donc que f (x + y) fait mal aux yeux et est = f (∞), soit + P.
(P : groupe des nombres passionnés qui se comptent et se décomptent au bond plaisir du client).
f (ici) = fermer ses dents et délier sa langue pour l’ensemble U, toujours près à manger des carottes suisses et autres sempiternelles agneaux belges à la sauce chauvine puisque (a + mon N)² est un produit remarquable.
f (son nez) = grosse queue touffue, car mains et pieds énormes ont pour résultantes et tangentes à +∞, l’ér0dage impulsif d’une sucrette au jambon.
f (moi) = ∞.
mais f (soi) = ∑ ((m + k) ²)³ : ( ∑ ∞.(mk) + k² )), m étant la nombre de nombrils humains sur le dos d’un éléphant mâle du Kazakhstan et k, la constante de salive produite par un caméléon bavard des Tropiques.